



la GIP est une approche critique car elle reconnaît les intérêts contradictoires des différents groupes d’acteurs et d’utilisateurs lorsqu’il s’agit de gérer les paysages de manière durable.
Nous savons qu’il existe des intérêts divergents en matière de biodiversité, de production agricole, de conservation, de moyens de subsistance, de gouvernance… Le site la GIP tente de créer un cadre nous permettant de trouver des synergies et des avantages entre ces différents principes.
Leigh Ann Winowiecki
CONNAISSANCES
6 caractéristiques des
La gestion intégrée des paysages
Le volet central vise à fournir des stratégies, des pratiques et des données probantes pour aider les acteurs de terrain et les décideurs politiques à développer et à étendre des solutions paysagères plus efficaces et plus inclusives. L’équipe CC rédigera et partagera toutes sortes de lignes directrices, de cadres, de documents et d’outils, et vise à partager les connaissances fondamentales sur la GIP. Pour l’instant, allons à l’essentiel : voici une vue d’ensemble des bases de la GIP.
Lesquelles de ces 6 caractéristiques la GIP sont essentielles pour votre projet ? Quelle est leur importance selon vous ? Dites-le nous dans le Forum.
NOUVELLES
Parlons-en. Rejoignez-nous dans le Forum des paysages
Grande nouvelle : nous avons parlé d’un espace en ligne spécialement conçu pour vous permettre de partager des idées et des bonnes pratiques, d’apprendre d’autres praticiens et de vos pairs, de poser des questions et de demander des conseils. Enfin, c’est ici, et vous êtes invités.
Rejoignez-nous dans le Forum des paysages pour des discussions publiques et en coulisses… Suivez les conversations des autres ou lancez la vôtre. Lisez ou regardez les dernières réflexions autour de la GIP. Continuez : utilisez le forum comme un outil d’assistance où vous pouvez poser vos propres questions et répondre à celles des autres. L’équipe de la composante centrale anime activement les discussions et sera disponible pour répondre aux questions clés et aux demandes d’assistance technique.
Exprimez-vous. Nous sommes prêts.
Vous pouvez également y accéder à partir de la page d’accueil de notre site web, où vous pouvez vous inscrire (n’hésitez pas à le faire) ou assister aux discussions publiques en tant qu’invité.
RÉFLEXIONS SUR LE TERRAIN
La maison sur la chaîne de montagnes
Nous n’aurions pas pu rêver d’un accueil plus chaleureux – ou plus accommodant – que celui que nous avons reçu en avril dans la magie du Kenya, lorsque le programme RangER (Kenya Rangelands Ecosystem Services pRoductivity) a été mis en place. RangER (Kenya Rangelands Ecosystem Services pRoductivity) a accueilli des membres de pour notre première mission d’apprentissage. a accueilli des membres de la Composante centrale pour notre première mission d’apprentissage.





Nous avons rapidement découvert que l’amélioration des conflits dans la région était l’un des principaux objectifs de RangER, qui identifie une relation claire entre les moyens de subsistance, la dégradation de l’environnement et les conflits dans le triangle d’Amaya, une mosaïque de prairies de savane, d’arbustes et de zones boisées au nord du mont Kenya.
La région abrite des conservatoires privés et communautaires qui soutiennent à la fois la production de bétail et la conservation de la faune et de la flore. Les changements croissants dans l’utilisation des terres, qui s’éloignent des parcours pastoraux au profit de la production agricole et de l’habitat, ont entraîné des groupes de problèmes liés à l’insécurité, aux conflits pour les ressources, à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire, à l’exclusion sociale et à la grave dégradation des ressources naturelles. Les sécheresses fréquentes et le changement climatique, associés à la croissance de la population humaine et du bétail, ont exacerbé cette situation.
Le site la GIP peut-il contribuer à résoudre ces problèmes ?
PLEINS FEUX SUR LES ÉVÉNEMENTS
Semaine de la science 2022
En juin, nous avons célébré la Semaine de la science 2022 au CIFOR-ICRAF, avec plus de 500 scientifiques sur le campus entre Nairobi et Bogor.

C’était la première occasion de rencontrer (presque) toute notre équipe Landscapes For Our Future pour discuter de l’avenir des approches intégrées du paysage (AIP) et poser la question suivante : « S’agit-il d’un vieux vin dans de nouvelles bouteilles ? Une autre mode de développement ? Ou sont-elles une solution réalisable pour le développement à l’échelle du paysage et les défis climatiques ? »
Donnez votre avis…
PUBLICATION EN VEDETTE
Le petit livre des paysages durables
Voici un petit quelque chose qui a nourri nos esprits sur la GIP dans le passé. Ce vieux truc est toujours bon ?

Publié en 2015, Le Petit livre des paysages durables reste une pièce de notre mosaïque de compréhension – un volume fondamental écrit par des penseurs qui restent très engagés dans l’espace paysager aujourd’hui. Bien entendu, notre réflexion sur la GIP a beaucoup évolué au cours des sept dernières années : nous sommes passés d’une approche biophysique, technocratique et descendante à une approche dont les origines sont plus organiques, mais qui est également plus ambiguë et qui tient compte de la complexité.
Donnez votre avis: Qu’avez-vous appris de cette publication ? Selon vous, qu’est-ce qui a changé depuis sa publication ?

La gestion intégrée des paysages (la GIP) fait partie intégrante des programmes ambitieux de l’Union européenne (UE) en matière de biodiversité et de systèmes alimentaires pour l’après-2020, ainsi que de son engagement à l’égard de l’Accord de Paris et des Objectifs de développement durable. la GIP Ces approches facilitent en outre une relance verte inclusive compatible avec le « Green Deal » de l’UE. En 2019, l’UE a lancé le programme quinquennal Landscapes For Our Future, qui soutient désormais 22 projets la GIP dans 19 pays et 3 sous-régions du Sud.